Le sentiment de culpabilité est une infinie réminiscence inoculée quand on s’en va, où que l’on aille je crois. C’est un sentiment désagréable qui ne se transmet pas, que l’on ne partage décemment pas, et dont on ne se sépare évidemment pas. Ça reste là, ça ne se voit pas. C’est une émotion viscérale qui pique, une vérité non assumée, immigrée dans notre nouvelle réalité, et qui jamais ne s’intègre. C’est un parasite qui nous rappelle trop souvent que tôt ou tard, ce ne sera plus seulement un sentiment.
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